AFFICHE ANCIENNE ORIGINAL POSTER L’HIVER à NICE Lefèvre 1891 casino pier 06

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PAS DE COPIE CHEZ NOUS NO COPY we sell only original period posters ON LINEN , LINEN BACKED IN OUR OWN STUDIO litho , few little restaurations  » L’Hiver à Nice  » très rare et célèbre affiche signée L. Lefèvre (Lucien Lefèvre) élève de CHERET voir plus bas IMPRIMERIE CHAIX affiche répertoriée par la BNF 181 X 125 cm une affiche originale d’époque de 1891… Une des plus anciennes que nous ayons cotoyée, hormis quelques affiches de cirque peut-être… On peut accepter quelques petits dommages? ELLE DEVRAIT REJOINDRE UN MUSEE… Au moins la MUNICIPALITE de NICE! Entoilée par nos soins , jaunissures, traces de plis un peu marqués quelques petites restaurations effectuées mais pas de manques encore très fraiche en couleurs on y voit encore le Casino Municipal et la Jetée – Promenade (voir ces sites plus bas). NOUS POUVONS ETUDIER UN ECHANGE.. WE CAN DO A SWAP… Vous pouvez nous contacter pour la sauvegarde de vos affiches. (exemples photos de notre travail et devis sur demande). Lucien Lefèvre , né à Varennes. Et mort à une date inconnue, mais après 1902, est un affichiste. Et un dessinateur français. Affiche pour le Cirage Jacquot (1894). Affiche pour lÉlectricine (1897). La vie de Lucien Lefèvre est, à ce jour, très peu connue. Il étudie d’abord le dessin industriel. Et, peut-être, l’art du portrait, avant d’exposer au Salon des indépendants. En 1872 et 1873. Devenu l’élève de Jules Chéret. Et d’abord influencé par lui, il commence à pratiquer l’art de la lithographie chez Chaix. Puis acquiert une certaine réputation d’affichiste à partir de 1890. Il figure dans trois numéros de la revue Les maîtres de l’affiche. Il reste actif jusqu’en 1902 et puis on perd sa trace. Companhia nacional de panificação, Unica no Brasil (1891). Le Fils de la nuit d’Edmond Lepelletier d’après Victor Léjou (1891). Cercle funambulesque, Théâtre des Bouffes-Parisiens. Chemins de fer du sud de la France (1891). Paris Plage – Le Touquet (1891). Cacao lacté de Ch. Vichy : Ouverture de la saison 15 Mai (1891). L’Hiver à Nice… La Bague Soleil (1891). Chemins de fer de Paris à Orléans, de Paris-Lyon-Méditerranée & du Midi (1891). La Carlsbad français : eaux thermales de Chaudes Aigues. Southern of France Railway. La Mode pratique , Hachette & Cie (1891). Don Quichotte, bouffonnerie équestre : Nouveau cirque (1892). La Rosière de Charenton, folie nautique (1892). Exposition internationale « Cycles et sports » Plaza de Toros (1892). Compagnie française, Café Malt, le meilleur (1892). Au Dahomey , Théâtre de la Porte-Saint-Martin. Yost, la meilleure machine à écrire (1892). National près le Palais de l’Industrie (1892). 5h de Paris (1893). Laveïne enlève encre, vin, café, jus de fruits… Société parisienne, 10 avenue de la Grande Armée (1893). Cirage Jacquot & Cie (1894). Électricine rouge et blanche (1894). Hannappier & Cie, Bordeaux (1894). Au Petit Matelot, costumes vrais marins (1894). Chemins de fer de l’Ouest. Excursions en Normandie et en Bretagne (1894). Réglisse Figaro suc pur (1894). Électricine, éclairage de luxe (1895-97). Grande tombola au profit de la caisse des écoles – Ville de Paris, mairie du XIIIe arrondissement (1895). Cirage Bétun Jacquot père et fils. Société générale des cirages français (1898). Cirage Jacquot & Cie (1902). Chemins de fer de l’Ouest et de Brighton s. Grande fête de bienfaisance au bénéfice des incendiés de la Martinique et de la Guadeloupe s. Département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France. Casino municipal de Nice. Et à droite le Casino municipal vers 1890. Et salles de spectacle. Omer Lazard, Vincent-Dieudé Defly, Labrousse, Édouard-Jean Niermans. Localisation sur la carte de Nice. Immortalisé par d’innombrables cartes postales, le Casino municipal de Nice était un célèbre complexe de divertissements avec cercle et salles de jeux, glacier, restaurant, grand hall et salles de spectacle qui se trouvait à Nice. Construit entre 1882 et 1884 sur le Paillon. Il fut transformé entre 1939 et 1940 puis démoli en 1979. Le casino entre 1890 et 1900 vu depuis le jardin public. Le bâtiment a été réalisé à l’initiative du promoteur Omer Lazard. Celui-ci se proposait de réaliser à ses frais un projet auquel tenait beaucoup la municipalité : couvrir le torrent du Paillon. Qui traverse Nice, de la place Masséna à son débouché à la mer. En contrepartie de cet énorme investissement financier, Lazard demandait à pouvoir édifier sur la couverture ainsi réalisée un complexe de divertissements avec un casino. Selon traité de 1879, la municipalité l’autorisa à réaliser ce projet, implanté sur le domaine public. Elle lui accorda, en contrepartie de son investissement, un droit d’exploitation du bâtiment pour une durée de quatre-vingts ans en s’interdisant de conférer une concession similaire. Les travaux de couverture du Paillon s’accomplirent entre 1879 et 1882. La construction du Casino municipal fut achevée début 1884. Le bâtiment donnait sur la place Masséna. Il était prolongé à l’arrière par une immense verrière ou hall. Contenant un jardin d’hiver. Il comportait à l’extérieur, des arcades. Côté place Masséna, et une allée de portiques. L’inauguration eut lieu le 6 février 1884. Le théâtre du Casino municipal a été construit par Édouard-Jean Niermans. Et décoré par Paul Gervais. On doit à l’architecte Labrousse la décoration de la salle de baccara et à Niermans celle des nouveaux salons du Grand Cercle. Le hall est l’uvre du cabinet d’architectes niçois A. On jouait au Casino municipal à la boule. Au trente et quarante. Et à la roulette. À l’origine, les jeux se déroulaient à l’étage, dans les salons du Grand Cercle, accessibles uniquement sur présentation d’une carte d’abonnement. Avec la loi de 1907 autorisant les jeux à tout venant, les jeux se développèrent. On installa des salles de boule au rez-de-chaussée. L’autorisation de pratiquer les jeux était accordée annuellement par le ministère de l’Intérieur. Après enquête publique et avis de la municipalité. On donna de mémorables banquets au Casino municipal en l’honneur de plusieurs présidents de la République française. Le Casino municipal organisait de très nombreux spectacles : théâtre, récitals. Concerts création de La Vida breve. De Manuel de Falla. En avril 1913, music-hall. Les plus grands artistes s’y produisirent. Parfois, quatre scènes étaient ouvertes en même temps. L’établissement disposait d’un orchestre permanent. Après guerre, il connut les débuts du festival du jazz. En 1948 avec Louis Armstrong. Il est à signaler que l’autorisation des jeux était conditionnée par l’effort artistique de l’établissement. À plusieurs reprises, la direction du Casino municipal se plaignit auprès de la ville de l’insuffisance de spectacles proposés par les autres établissements de jeux niçois en suggérant d’émettre un avis défavorable au renouvellement de leur agrément. Les principaux concurrents du Casino municipal furent le Palais de la Jetée-Promenade. Et son casino et, à partir de 1929, le Palais de la Méditerranée. L’ouverture de cet établissement coïncida avec une importante baisse de recettes du Casino municipal. Le Casino municipal fut exploité par la Société fermière des casinos de Nice. Durant plusieurs décennies, elle fut dirigée par Pierre Ducis. Après la Seconde Guerre mondiale. Ce fut son fils, Pierre-Jean Ducis, qui reprit la direction de l’établissement. La transformation du Casino municipal. Le casino en 1905 vu depuis la place Masséna. En 1906, les salons et la salle de théâtre furent redécorés par l’architecte Edouard-Jean Niermans. L’aspect extérieur du bâtiment d’origine fut profondément transformé en 1939/1940. On transforma l’édifice pour mieux l’insérer architecturalement dans son environnement de style turinois. On le dépouilla de sa toiture grise et on l’affubla de balustres. Et d’une façade peinte en rose pour le mettre en harmonie avec les bâtiments plus anciens composant la place Masséna réalisés à l’initiative du Consiglio d’Ornato. Et de l’architecte Joseph Vernier. Le Casino municipal et la guerre. Le bâtiment servit de garde-meubles des évacués durant la Seconde Guerre mondiale. En novembre 1942, les premiers soldats italiens, prenant le bâtiment du casino pour la Mairie, capturèrent le portier en uniforme galonné, exigeant de voir le maire. Le malentendu burlesque fit la joie des Niçois. Après la libération de Nice. C’est du balcon du Grand Cercle du Casino municipal que le général de Gaulle. S’adressa en 1945 à la population niçoise. La fin du Casino municipal. La concession de quatre-vingts ans accordée à l’exploitant vint à expiration en 1964. La société gérante remit à la disposition de la municipalité l’exploitation du hall et du théâtre. Les jeux cessèrent en octobre 1969. Le bâtiment fut rasé en juin 1979 sous le mandat du maire Jacques Médecin. Qui envisageait de réaliser à la place un palais des congrès. Finalement construit au-delà du pont Barla sous le nom d’Acropolis. L’assiette de l’ancien Casino municipal, transformée en jardins et jets d’eaux, porte aujourd’hui le nom de « Forum Jacques Médecin ». La Jetée-Promenade en 1904. Marquis dEspouy de Saint Paul. 1, promenade des Anglais. La Jetée-Promenade de Nice est un ancien bâtiment, construit sur pilotis. Face au jardin public. Et démoli en 1944. Lors de la Seconde Guerre mondiale. Par les troupes allemandes. Il avait une vocation ludique et touristique pour contenter les touristes anglais qui affluaient sur la côte dAzur. Il reprenait en grande partie l’exemple de Brighton. Le projet de bâtiment naît lors d’un voyage à Londres. Par le Marquis dEspouy de Saint Paul, où il découvre le Crystal Palace. (Hyde Park) et souhaite reproduire ce bâtiment pour Nice. Le Marquis imagine donc un palais flottant en verre à l’anglaise. Est en pleine construction de « piers ». Qui sont à la mode à cette époque. Cette idée, d’abord soumise au conseil municipal, sera adoptée. Le conseil municipal établit un cahier des charges. Strict pour lequel le futur bâtiment devra être construit après avoir réalisé une couverture du Paillon afin d’y placer le futur Jardin Public. Aux frais de la société. Plusieurs demandes de concession. Sont alors envoyées en préfecture. Pour une construction de 6 500 m. Sur le domaine maritime. La concession sera acceptée par la préfecture afin détablir une jetée promenade « où les touristes pourraient, après avoir acquitté un droit dentrée, se promener au-dessus de la mer ». Les travaux commencent en. Lors du dépôt des statuts de la société. (Société Anonyme de la Jetée-Promenade de Nice), le Marquis cède son poste à un nouveau groupe présidé par le général de Jaugigny. La commune de Nice, voyant le peu d’intérêt que suscitait ce projet et les difficultés envisageables lors de la construction, décide de construire son propre casino : le Casino Lazard. Cette volonté politique du maire Borriglione. Qui engendre des frais de construction très importants (construction sur le Paillon), vont entraîner une ferme opposition à l’ouverture de la jetée-promenade avant le casino de Borriglione. Le maire, fermement décidé à avoir son casino, va former une société (la Société Anonyme du Casino Municipal) afin d’obtenir des fonds nouveaux. Pendant ce temps, les travaux de fondation de la jetée arrivent à leur terme, la dernière portion consistait à raccorder la jetée-promenade à la promenade des Anglais. Toujours dans la même optique, le maire refuse toutes les demandes de raccordements qui lui sont adressées durant toute l’année 1881. Le directoire de la jetée-promenade fait donc appel au préfet qui signera un arrêté. La presse de l’époque décrira « cet immense vaisseau aux coupoles hardies et lignes capricieuses » avec son dôme culminant à. Et ses aménagements : kiosque à musique. Cercle nautique et bains de mer. Une ouverture partielle sera lancée en. L’exploitation est donc faite alors que seuls le dôme, les 2 premières salles, la promenade et les terrasses latérales sont achevés. Les critiques seront mitigés à propos du lieu. Louverture générale seffectue le dimanche. Bien que la salle de théâtre ne soit pas encore totalement achevée. Trois jours après son ouverture, un incendie interrompt l’exploitation. L’inauguration officielle devait avoir lieu le. Il n’y aura donc aucune victime. Les causes de l’incendie ne seront jamais connues. L’enquête fît apparaître des informations importantes à propos des matériaux de construction employés. De l’incendie se trouvait dans les boiseries et marqueteries du bâtiments, imprégnées d’huile de pétrole. Les locaux penseront à un incendie volontaire. Qui visait à ralentir l’exploitation au profit du Casino Municipal, pourtant les pompiers de l’époque tenteront de sauver le bâtiment en vain. Il ne restera que la passerelle d’accès et les terrasses. Après l’incendie, la société optimiste déclare qu’une ouverture rapide sera faite. Pourtant les finances manquent afin de réaliser des travaux rapides. La banqueroute est prononcée, la jetée promenade est mise aux enchère à l’aube de l’année 1884. Il n’y aura aucun repreneur. La société est dissoute en 1885. Est nommé près d’un an après la dissolution de la société. Ce dernier mettra tout en uvre pour trouver un repreneur, il obtiendra même une autorisation de rétrocession du ministre. Pourtant, après trois adjudications. Infructueuses, une nouvelle société sera créée (Société Anonyme de la Nouvelle Jetée-Promenade de Nice) est constituée le. Le bâtiment est en ruine et la reconstruction reprendra à partir de 1889. Les travaux s’achèveront deux ans après et enchantera les riches hivernants. La société exploitante offrira des spectacles musicaux d’une grande qualité pour l’époque. La première guerre mondiale éclate et à Nice le bâtiment est réquisitionné et reconverti en centre de convalescence pour les blessés. Il sera alors rebaptisé American YMCA par les alliés et utilisé de 1918 à 1919. C’est alors que le sénateur. Souhaite lui redonner son faste. Il fera évacuer les militaires et décorer les toits pour que s’illumine à la nuit tombée ce palais. Lors de la seconde guerre mondiale, le palais conservera son utilité jusqu’en 1942. La Jetée-Promenade ferme ses portes le. Sous la pression des occupants italiens. En automne 1943, les Italiens capitulent, la ville est alors envahie par les Allemands. Elle sera dépouillée de tout ses effets (cuivres, bronzes, statues, argenterie, câblage électrique et autres métaux) afin d’être utilisée pour la guerre. Les troupes ennemies pensent alors à une invasion par l’Afrique du Nord, ils barricadent le bord de mer et utilisent le bâtiment comme camp retranché. Abandonne finalement ce lieu vers 1943. Le général de division. Von Kollermann ordonne de démanteler la superstructure. Du bâtiment (plusieurs milliers de tonnes d’acier) en. Lorsque les Américains arrivent à Nice à l’été 1944, il ne reste plus que des débris immergés et les nombreuses structures métalliques. L’autorisation d’occuper le domaine maritime est retirée par arrêté préfectoral tandis que la France. Est en pleine reconstruction politique. La société saisit alors le Conseil d’État. Elle juge cet arrêté contraire à son exercice. L’arrêté est déclaré valable, la jetée-promenade ne ressortira plus jamais des eaux dans lesquelles elle a sombré. La première structure de 1883 construite trop proche de l’eau est en proie aux hautes vagues. L’incendie de 1883 entraîne donc des modifications. La plateforme est tout d’abord surélevée de. La superstructure repose sur 250 pilotis, de fonte creuse, vissés à une profondeur de. Dans le sol diamètre enterré de. La profondeur de l’eau varie suivant la position des piliers par rapport à la plage de 2 à. Les pilotis sont reliés en leur partie supérieure par des poutres en treillis et des croix de saint André. Des voûtes minces réalisées en béton de Grenoble. D’épaisseur, constituent le plancher établi sur le treillis surface 100 x. La structure, quant à elle, est réalisée par l’entreprise de Moisant. Elle est décorée grâce à des briques creuses. Qui confèrent plus de légèreté à l’ensemble. L’ensemble constitue une structure dont les données sont les suivantes. La coupole de 1883 mesure. Le bâtiment était organisé en plusieurs salles. Le Grand Dôme : il était la pièce principale et servait de salle des fêtes, de cette pièce on desservait toutes les autres. La Salle de Spectacles. Des salons de lecture : la Salle des Glycines , de conversation : la Salle des Hortensias, de jeux : la Salle de Baccara. Ou, Salle des Petits Chevaux. La décoration des différentes salles était variée, décorée dans le style orientaliste (japonais, indous, turcs, mauresque). Le peintre principal est Mathon. Et l’architecte d’intérieur Charpentier. L’item « AFFICHE ANCIENNE ORIGINAL POSTER L’HIVER à NICE Lefèvre 1891 casino pier 06″ est en vente depuis le mardi 27 septembre 2016. Il est dans la catégorie « Collections\Calendriers, tickets, affiches\Affiches pub\ anciennes ». Le vendeur est « buybuyzoe » et est localisé à/en Atelier Affiche Moulin port Salomon DAMIATTE. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Epoque: Antique (XIXème)
  • Dimensions: 181 x 125 cm
  • Impression: Couleur


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