D’après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

D'après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé

Paire de gravures couleurs fin 18° d’après les gouaches originales de l’artiste appartenants à Mr Jaufret. L’assemblée au Salon: dédié à Monsieur Le Duc de Luynea et de Chevreuse. L’assemblée au Concert: dédié à son Altesse Sérénissime Mademoiselle de Condé. Une importante tâche en bas à droite du sujet. Une rousseur à droite, des salissures (verre manquant, d’où un état plus moyen que l’autre). A vue: 44 x 58 cm. Dans des cadres en bois mouluré doré et noir, frise de perles dorées (état moyen, manque un verre sur le concert): 52 x 66 cm. La gouache de Lavreince, provenant de la collection La Béraudière, figurait à la vente Mühlbacher en 1899, n° 160 du catalogue. Payée 30.500 fr. Elle passa dans la collection Boin, qui fut vendue les 17-18 décembre 1918. Niklas Lafrensen, dit « Nicolas Lavreince » ou « Lavrince », né le 30 octobre 1737 à Stockholm où il est mort le 6 décembre 1807, est un dessinateur et peintre à la gouache de portraits et dhistoire suédois. Élève de son père, le miniaturiste suédois Niclas Lafrensen, dit le Vieux, Lavreince se consacra dabord à la même discipline, avant de prendre, en 1771, le chemin de Paris, où il peignit de petits portraits à laquarelle et à lhuile. Nommé, à son retour en Suède, en 1773, membre de lAcadémie de Stockholm et peintre de la cour, il revint néanmoins à Paris en 1774, où il produisit, jusquà la Révolution, de nombreux dessins de style rococo destinés à servir de modèles à des graveurs, tout inspirés de lesprit enjoué et plein de grâce de cette fin de lAncien Régime dans le genre de Lancret, Pater et Fragonard. Il a peint les figures dans les uvres de Bellanger. Ces sujets tour à tour galants, enjoués, ou badins, ont été reproduits par une trentaine de graveurs contemporains, comme Benossi, Nicolas de Launay, Helman, Bréa, Vidal, Heinrich Guttenberg, Mariage ou Pierron, et connurent un grand succès commercial à lépoque. De retour à Stockholm après 1791, il peignit des portraits, de petites scènes historiques et des fêtes galantes dont Les Offres séduisantes gravée par Delignon (vers 1800). Louise Adélaïde de Bourbon, née à Chantilly le 5 octobre 1757, morte à Paris en 1824, était une princesse du sang de France. Dernière abbesse du hapitre noble de Remiremont, elle fonda au début de la Restauration une communauté qui devint célèbre chez les catholiques français sous le nom de Bénédictines de la rue Monsieur. Descendante du Grand Condé à la cinquième génération, la princesse Louise-Adélaïde était la tante du dernier duc d’Enghien. On chercha en vain à lui faire épouser le comte d’Artois, frère du roi Louis XVI, puis elle succéda à Christine de Saxe comme abbesse du chapitre noble de Remiremont. Elle noua une amitié restée platonique avec Nicolas III Magon de la Gervaisais, rencontré dans la ville d’eau de Bourbon-l’Archambault, écrivain et polémiste, avec qui elle entretint un temps une correspondance suivie, publiée en 1834 par Pierre-Simon Ballanche[4], mais qu’elle dut interrompre sur ordre de son père en raison des bruits qui couraient sur leur liaison supposée. Dès juillet 1789, elle suivit son père, son frère et son neveu en émigration. De Bruxelles, les Condé se rendirent, après un long périple à travers le Saint Empire Romain Germanique, à Turin où les accueillit leur cousine, la princesse de Piémont, sur de Louis XVI dont Mademoiselle de Condé était proche. Le repos fut de courte durée. L’année suivante, le prince de Condé reprit son périple à travers l’Europe et se constitua une armée afin de combattre la France Révolutionnaire. Sa fille lui tenait lieu de secrétaire. Cependant la princesse songeait toujours à se consacrer à Dieu. Après plusieurs essais infructueux de vie religieuse et un cheminement qui la conduisit d’exils en exils, la princesse demanda au pape une dispense afin de pouvoir être religieuse sans entrer dans un couvent. Face aux troupes de Napoléon , elle trouva refuge en Angleterre. Lors de la Restauration, elle fonda une communauté Bénédictine. Lors de sa mort en 1824, Nicolas III Magon de la Gervaisais publia son panégyrique dans un journal royaliste. L’item « D’après LAUREINCE 2 gravures fin 18° Salon Concert Graveur Dequevauviller Condé » est en vente depuis le dimanche 16 septembre 2018. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XIXe et avant\Estampes, gravures, lithos ». Le vendeur est « lantoine666″ et est localisé à/en Davayé , Bourgogne. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.


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