Alexandre Calder Composition 1973 Lithographie pour Revue Derrière le Miroir

Alexandre Calder Composition 1973 Lithographie pour Revue Derrière le Miroir

Alexandre Calder Composition 1973 Lithographie pour Revue Derrière le Miroir

Composition, sans titre 1973. Lithographie originale sur papier vélin. Tirée dans les ateliers de l’imprimerie Arte, Adrien Maeght. Pour le revue derrière le miroir n°201, p. Et peintre américain né le 22 juillet 1898 à Lawton. Et mort le 11 novembre 1976 à New York. Il est surtout connu pour ses mobiles. Ainsi nommés sur proposition de Marcel Duchamp. Lors de leur exposition à Paris. En 1932 à la galerie Vignon, ses assemblages de formes animées par les mouvements de l’air et ses stabiles. Une de ses premières grandes réalisations est un modèle réduit de cirque animé : Le. Grand Cirque Calder 1927. Qui fait l’objet d’un DVD édité par le Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou. En 2009 à la suite de l’exposition. D’avril à juillet 2009. Il crée des jouets articulés qu’il présente au « Salon des Humoristes de 1927. » Les années suivantes et jusqu’en 1929, l’artiste passionné de cirque se consacre au Cirque de Calder. En fils de fer tordus et bouts de chiffons qui lui servent à présenter une performance. Qu’il peut transporter et qu’il expose à Paris, puis à Berlin, New York. Dans ce spectacle, l’artiste joue le rôle de maître de cérémonie, de chef de piste et de marionnettiste en faisant fonctionner manuellement le mécanisme, le tout étant accompagné de musique et d’effets sonores. Les personnages représentent souvent des personnages connus de l’époque. Le « Cirque de Calder » a fait une dernière apparition à Paris du 18 mars au 29 juillet 2009 au Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou. Par la suite, entré en contact avec des représentants de l’avant-garde artistique parisienne comme Joan Miro, Jean Cocteau, Man Ray, Robert Desnos, Fernand Léger, Le Corbusier, Theo van Doesburg, et surtout Piet Mondrian, qui aura une grande influence artistique sur lui, à partir de 1930, Calder n’abandonne pas le fil de fer avec lequel il « dessinait » pour adopter un style entièrement abstrait, mais il lui adjoint d’autres formes plus abstraites. « En 1932, il expose pour la première fois ses premières sculptures abstraites, en tiges et plaques articulée, les Mobiles, peints en noir et blanc, et parfois rehaussés d’un ou deux aplats de couleurs qui connaissent un grand succès ». Ces trente sculptures articulées en fil et morceaux de fer sont présentées à la Galerie Vignon, dirigée par Marie Cuttoli. Quinze d’entre eux sont mis en mouvement par de petits moteurs que l’artiste actionne. Cette année-là l’artiste a rejoint le groupe Abstraction-Création. « Ces engins articulés, Marcel Ducamp propose de les appeler Mobiles , rappelant les deux sens du terme : mouvement et mobile. Calder s’est empressé d’adopter le terme qui marque le début de sa longue carrière. En 1943, le Museum of Modern Art organise une première rétrospective, suivie en 1946 par une exposition à Paris préfacée par Jean-Paul Sartre, et en 1952, il obtient le grand prix de la Biennale de Venise. En 1958, il réalise le mobile du siège parisien de l’UNESCO, dix mètres de haut, deux tonnes dacier noir, cinq bras. En 1962, il s’installe dans son nouvel atelier à savon du Carroi, d’une conception très futuriste et dominant la vallée de la Basse-Chevrière à Saché en Indre-et-Loire. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont L’Homme , tout en acier inoxydable de. De haut, commandé par l’International Nickel du Canada (Inco) pour l’Exposition Universelle de Montréal en 1967. Toutes les fabrications sont faites d’après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d’étude dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner pour concevoir à l’échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l’uvre. Tous les stabiles sont fabriqués en acier au carbone, puis peints, pour une majeure partie en noir, sauf l’Homme qui sera en acier inoxydable (brut), les mobiles étant fabriqués en aluminium et duralumin. En 1971, Calder et Jacques Prévert travaillent ensemble à un livre qui sintitulera Fêtes , publié par les éditions Maeght, où Calder réalise des eaux-fortes et Prévert écrit un long texte sur luvre du sculpteur. Il est le premier à collaborer au projet de Hervé Poulain qui consiste à personnaliser une BMW 3.0 CSL pour les 24 Heures du Mans. En font de même, avec divers modèles de la marque BMW et dans le cadre de la série BMW Art car , aujourd’hui préservée par le Musée BMW de Munich : Andy Warhol, César, Arman, Roy Lichtenstein, Georges Wolinski, Frank Stella et d’autres artistes. Sil est surtout connu pour ses peintures, ses mobiles et ses stabiles, Calder a également réalisé au cours de sa longue carrière de nombreux bijoux. Il a également réalisé en 1969 des décors d’assiettes en collaboration avec la Manufacture nationale de Sèvres. Alexander Calder meurt d’une crise cardiaque à New York, le jour du vernissage d’une rétrospective de son uvre au Whitney Museum of American Art. Son épouse est décédée en 1996. En 1994, une exposition se tient à l’abbaye Saint-Germain à Auxerre. En 2011, la National Portrait Gallery de Washington organise une exposition intitulée Calder’s Portraits : A new Language qui met en avant un élément souvent négligé de son art : les portraits de fil de fer. Croquis, peintures, sculptures et mobiles figurant des visages sont ainsi mis à l’honneur. L’item « Alexandre Calder Composition 1973 Lithographie pour Revue Derrière le Miroir » est en vente depuis le jeudi 23 mars 2017. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Estampes, gravures ». Le vendeur est « galeriesartonicerveau » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.
  • Type: Lithographie
  • Période: XXème et contemporain


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