HARTUNG Hans Lithographie originale signée 1976 art abstrait Lyrique abstraction

HARTUNG Hans Lithographie originale signée 1976 art abstrait Lyrique abstraction

Lithographie Originale 1976 Signée en bas à droite. Justifiée HC Format 56 x 46 cm. Hans Hartung , né le 21. Et décédé le 7. L’un des plus grands représentants de l’art abstrait. Et le père du tachisme. En 1924 et 1925, Hartung poursuit des études de lettres classiques, de philosophie et d’histoire de l’art à Leipzig. Il assiste à une conférence de Kandinsky. S’inscrit en 1925 et 1926 à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde où, à l’occasion de l’Exposition internationale, il découvre le parcours de la peinture française de l’impressionnisme. Durant l’été, il parcourt l’Italie à bicyclette puis arrive à Paris, où il vit jusqu’en 1931 ; il effectue deux séjours au Barcarès. Et voyage en Belgique et Hollande. Il rencontre Anna-Eva Bergman. Jeune peintre norvégienne qu’il épouse en septembre 1929. En 1931, après un séjour sur la Côte d’Azur pendant l’hiver, il expose pour la première fois, à Dresde, et avec Anna-Eva Bergman l’année suivante, à Oslo. Travaillant un moment dans une île du sud de la Norvège. Son grand-père maternel et son père, musicien amateur et peintre autodidacte, sont médecins. Sa vocation est précoce : il raconte que dès l’âge de 6 ans. « sur un de mes cahiers d’école, j’attrapais des éclairs dès qu’ils aparaissaient. Il fallait que j’ai achevé de tracer leurs zig-zags sur la page avant que n’éclate le tonnerre. Ainsi, je conjurai la foudre ». De 1912 à 1914 sa famille s’installe à Bâle. L’astronomie il construit son propre téléscope grâce auquel il observe des. Dont l’apparence abstraite anticipe sur ses futures uvres et la photographie l’émerveillent. Il fréquente ensuite jusqu’en 1924 le lycée de Dresde. Se passionnant pour Rembrandt. Copiant librement certaines uvres, il en simplifie la composition pour n’en retenir que les masses colorées. Après la mort de son père et face à la montée du nazisme. Hartung quitte l’Allemagne pour les Baléares. Confiant au passage à Paris quelques toiles à la galerie Jeanne Bucher; il construit une petite maison sur la côte nord de Minorque. Sans argent, il regagne Paris en 1934, passe par Stockholm puis rentre en Allemagne, à Berlin. N’acceptant pas le régime nazi, il parvient à passer en France et s’installe définitivement à Paris. Il s’y lie avec Jean Hélion. Avec qui il expose. Entre 1934 et 1938, il peint la série de ses « taches d’encre ». N’ayant pas les moyens de se procurer de quoi dessiner, il s’installe à la terrasse des cafés et commande des cafés crèmes, ce qui l’autorise à demander aussi aux serveurs de l’encre et du papier. Ses premières uvres consistent en des tourbillons d’encre noire tracés les yeux fermés, destinés à apaiser son angoisse. Face à de grandes difficultés matérielles, la maladie de sa femme, leur divorce, le retrait de son passeport par l’ambassade d’Allemagne, Hartung bénéficie de l’hospitalité de Goetz et travaille dans l’atelier du sculpteur Julio González. En 1939, il s’inscrit sur la liste des volontaires contre l’hitlérisme en cas de guerre et épouse Roberta González, la fille du sculpteur. Mobilisé en décembre, il est affecté à la Légion étrangère. Et envoyé en Indochine puis en Afrique du Nord. Démobilisé, il se réfugie avec la famille González dans le Lot. Après la mort de Julio González en 1942 et l’occupation de l’ensemble de la France, Hartung passe en 1943 en Espagne. Incarcéré, puis placé dans un camp de concentration durant sept mois, il rejoint l’Afrique du Nord et s’engage à nouveau dans la Légion. Grièvement blessé durant l’attaque de Belfort. En novembre 1944, il est amputé de la jambe droite à Dijon. De la Médaille militaire et de la Légion d’honneur. Dans les années suivantes, Hartung participe à plusieurs expositions (première exposition personnelle à Paris en 1947 à la galerie Lydia Conti qui le révèle au public) et se fait remarquer par les critiques. Réalise sur lui un film qui est présenté en 1948 en Allemagne et en 1950 à Paris. À partir de 1949, il réalise plusieurs expositions personnelles ou collectives et fait la connaissance de Schneider. Il est alors reconnu comme l’un des chefs de file de l’Art informel. Et un des précurseurs de l’Action Painting. Une rétrospective de son uvre est présentée dès 1952 au musée de Bâle. Où il retrouve Anna-Eva Bergman. En 1953, Hans Hartung s’installe à nouveau avec Anna-Eva Bergman, revenue de Norvège, et divorce d’avec Roberta Gonzalez. Il commence d’exposer à la Galerie de France. Et est élu en 1956 membre de l’Académie des arts de Berlin. En 1957, Hartung se remarie avec Anna-Eva Bergman. Multipliant les expositions de ses peintures, gravures. Il reçoit en 1960 le grand Prix international de peinture de la Biennale de Venise. À partir de 1961, le procédé du grattage est à l’origine d’un renouvellement de sa peinture. Il s’invente également de nombreux outils larges brosses, pistolets et aérographes, balais de genêts, sulfateuses, tuyaux d’arrosage, rouleaux de typographes… Et recourt à des matériaux nouveaux (peinture vinylique et acrylique qui sèche rapidement). En 1964, Hartung fait avec Anna-Eva Bergman un voyage en bateau au long de la côte de l’extrême nord de la Norvège et en rapporte des milliers de photographies. À l’occasion de la publication du catalogue de ses gravures, celles-ci sont dans leur totalité exposées à Brunswick. De larges rétrospectives de son uvre sont présentées au Musée de Turin. En 1966, au Musée national d’Art moderne. De Paris en 1968, puis à Houston. En 1969, tandis que ses toiles récentes sont exposées à New York. Hans Hartung reçoit le Prix d’honneur de la Biennale de gravure de Ljubljana. En 1967, le Grand Prix des Arts de la ville de Paris en 1970. Pour son soixante-dixième anniversaire, le Musée de Cologne. Lui consacre en 1974 une nouvelle rétrospective et la revue Cimaise un numéro spécial. En 1968, Hartung fait construire près d’Antibes. Une maison dont il conçoit les plans et où il séjourne en permanence à partir de 1972. D’autres rétrospectives lui sont consacrées en 1975 à Berlin. Le Metropolitan Museum of Art. De New York exposant une trentaine de ses uvres monumentales. Les éditions Skira publient Un monde ignoré vu par Hans Hartung , avec des reproductions de ses photographies et des textes de Jean Tardieu. Hartung est élu en 1977 à l’Académie des beaux-arts de l’Institut de France. Et le Centre Pompidou. Organise une exposition itinérante de ses gravures et lithographies. Un timbre-poste reproduisant l’une de ses peintures est émis en 1980. À cette occasion, le Musée de la Poste présente les tapisseries et gravures sur bois de Hartung et d’Anna-Eva Bergman. Hartung est en 1981 le premier peintre à recevoir le Prix Kokoschka créé par le gouvernement autrichien. La même année, la Stâdtische Kunsthalle de Düsseldorf. Puis la Staatsgalerie Moderner Kunst de Munich. Organisent une grande exposition rétrospective ainsi que la Fondation Henie-Onstad en Norvège. Hartung se voit consacrer en 1982 une salle personnelle permanente à la Statsgalerie Moderner Kunst de Munich. Le conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur inaugure en 1983 au Musée d’Antibes. Une exposition de ses photographies tandis que le Kupferstich-Kabinett der Staatlichen Kunstsammlungen de Dresde. Expose les 61 lithographies et gravures qu’il lui a offertes. En 1984 est ouverte au Hessisches Landesmuseurn de Darmstadt. Une salle consacrée à ses peintures, et Hartung reçoit la Grand-croix de l’Ordre du Mérite de la République fédérale d’Allemagne. Dans les dernières années de sa vie Hartung va peindre au pistolet à peinture, cela lui permit de faire plus 300 toiles l’année de sa mort, en 1989. Anna-Eva Bergman meurt le 24 juillet 1987, Hans Hartung le 7 décembre 1989 à Antibes. Selon sa volonté ses cendres sont dispersées dans la Méditerranée. « L’art me paraît être un moyen de vaincre la mort. , en avril-août 2006 (pour Hartung : Sans titre , 1947 ; T1948-38 , 1949, de la Fondation d’Antibes ; T5232 , 1952 ; pour Anna-Eva Bergman : N°5 1952, Deux formes noires , 1952, de la Fondation d’Antibes) catalogue. T 1949 – 10 , 1949, huile sur toile, 50 x 73 cm, adjugé 245 448 euros en octobre 2007. « Divisez une ligne en deux parties égales : vous obtenez l’ennui. « Il y a une mesure unique qui préserve l’unité du tout. « Ne plus rien figurer, ce que j’aime faire, c’est agir sur la toile. L’item « HARTUNG Hans Lithographie originale signée 1976 art abstrait Lyrique abstraction » est en vente depuis le dimanche 22 janvier 2017. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Estampes, gravures ». Le vendeur est « artdac » et est localisé à/en paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Lithographie
  • Thème: Abstrait
  • Période: XXème et contemporain
  • Genre: Abstrait
  • Authenticité: Original
  • Caractéristiques: Signée


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