Max PAPART (1911-1994) Lithographie d’art en couleur 1974 Art Lithograph

Max PAPART (1911-1994) Lithographie d'art en couleur 1974 Art Lithograph

Affiche d’art en lithographie. 78,5 x 50 cm. Art poster in lithograph. 30.9″ x 19.9″ in. Max Papart est né à Marseille (Bouches-du-Rhône) en 1911. Il fréquentera brièvement lEcole des Beaux-Arts de Marseille, préférant se former seul à la peinture. Se fixant à Paris en 1936, il travaille alors comme artisan imprimeur. Il expose au Salon des Indépendants et réalise ses premières gravures à laquatinte. Il participe à de diverses expositions collectives. Ses premières expositions personnelles sont organisées par la Galerie Bureau à Paris (1938), puis par la Galerie Sébire à Marseille (1946). Exempté durant la seconde guerre mondiale, il se réfugie dans sa ville natale, où il fréquente lEcole des Beaux-Arts et lAcadémie Auzias. Il participera activement à la libération de Marseille. Après guerre, il croise les chemins de Prévert, Ribemont-Dessaignes et dautres poètes dont il illustrera des ouvrages de bibliophilie. Il montre alors régulièrement son travail dans des Salons Salon de Mai, Peintres témoins de leur temps, etc. , des musées ou des galeries. Dans la seconde moitié des années 50, il rencontre César, Henri Goetz, Jean Michel Atlan, James Coignard, Antoni Clavé, des artistes qui ont fait le choix du sud de la France. Max Papart évoluera dun langage post-cubiste vers une expression empruntant à labstraction certains raisonnements plastiques. Lithographe, graveur, peintre, il utilisera souvent des techniques mixtes et la technique du collage quil maniera avec dextérité. Max Papart sest éteint en 1994. Max Papart was born in Marseilles, France in 1864. Papart began his career as a landscape painter. His work evolved into abstraction, and he gained a reputation as the heir to classic cubism. Through the years he has developed spiritual affinities with other styles and schools. Elements of Etruscan, archaic European, African, and pre-Columbian art have influenced his work, leading to his present semi-figurative style. In Papart’s art, composition goes hand in hand with color, each strengthening the other. He feels that color is intuitive. His etchings are noted for contrast in surface textures, achieved with aquatint for a soft, mottled appearance and with carborundum, a technique that results in deep veining reminiscent of stone. Papart has received a number of awards for printmaking. His work is found in many collections, including those of the Victoria and Albert Museum, London, the Musee d’Art Moderne, Paris, the Israel Museum, Jerusalem, and Yale University, New Haven. Le cubisme est un mouvement artistique qui s’est développé principalement de 1907 à 1914 à l’initiative des peintres Georges Braque, Pablo Picasso, Jean Metzinger, Albert Gleizes, Robert Delaunay, Henri Le Fauconnier et Fernand Léger. La période la plus innovante du cubisme fut avant 1914. Après la Première Guerre mondiale, avec le soutien apporté par Léonce Rosenberg, le cubisme redevient une question centrale pour les artistes, et continue en tant que tel jusqu’au milieu des années 1920 lorsque son statut d’avant-garde est rendu douteux par l’avènement de l’abstraction géométrique et du surréalisme. Picasso, Braque, Gris, Léger, Gleizes et Metzinger, tout en développant d’autres styles, retournent périodiquement au cubisme, même bien après 1925. L’origine du mot Le terme cubisme provient d’une réflexion d’Henri Matisse, relayée par le critique d’art Louis Vauxcelles, qui, pour décrire un tableau de Braque, parla de « petits cubes ». Auparavant, dans un contexte similaire, le critique Louis Chassevent, dans son article de 1906 sur « Les Artistes indépendants », définit alors Jean Metzinger comme « un mosaïste comme Signac, mais il est plus précis dans sa découpe des cubes de couleurs, qui semblent avoir été fabriqués par une machine ». L’usage général du terme « cubisme » date de 1911, principalement en référence à Metzinger, Gleizes, Delaunay et Léger. En 1911, le poète et critique Guillaume Apollinaire a accepté le terme au nom d’un groupe d’artistes invités à exposer au Indépendants de Bruxelles. L’année suivante, en préparation du Salon de la Section d’Or. Metzinger et Gleizes écrit et publié Du « Cubisme » dans un effort de dissiper la confusion qui fait rage autour du mot, et comme un moyen de défense majeur du cubisme (qui avait causé un scandale public à la suite du Salon des Indépendants de 1911 et le Salon d’Automne de 1912). Clarifiant leurs objectifs en tant qu’artistes, ce travail a été le premier traité théorique sur le cubisme et il reste encore la plus claire et plus intelligible. Le résultat, non seulement une collaboration entre ses deux auteurs, reflète des discussions du cercle d’artistes qui se sont réunis à Puteaux et Courbevoie. Il reflète les attitudes des «artistes de Passy», qui comprenait Picabia et les frères Duchamp, à qui certaines de ses passages ont été lus avant publication. Le concept développé dans Du « Cubisme ». D’observer un sujet. À partir différents points dans l’espace en même temps, c’est-à-dire, l’acte de se. Déplacer autour d’un objet. Pour le saisir à partir de plusieurs angles successifs fusionnés en une seule image (des points de vue multiples ou la perspective mobile), est maintenant un phénomène généralement reconnu pour décrire le cubisme. Le manifetso Du « Cubisme » par Metzinger et Gleizes a été suivie en 1913 par Les Peintres Cubistes, une collection de réflexions et de commentaires de Guillaume Apollinaire8. Apollinaire avait été étroitement associé à Picasso depuis 1905, et de Braque depuis 1907, mais a donné autant d’attention à des artistes tels que Metzinger, Gleizes, Delaunay, Picabia et Duchamp. Le concept Le cubisme prend sa source dans une lettre de Cézanne à Émile Bernard, du 15 avril 1904, de laquelle sera tirée une phrase souvent répétée pour justifier les théories cubistes : « Traitez la nature par le cylindre, la sphère, le cône, le tout mis en perspective, soit que chaque côté d’un objet, d’un plan, se dirige vers un point central. » Cependant la suite de cette phrase est souvent occultée : « Les lignes parallèles à l’horizon donnent l’étendue, soit une section de la nature ou, si vous aimez mieux, du spectacle que le Pater Omnipotens Aeterne Deus étale devant nos yeux. Les lignes perpendiculaires à cet horizon donnent la profondeur. Or, la nature, pour nous hommes, est plus en profondeur qu’en surface, d’où la nécessité d’introduire dans nos vibrations de lumière, représentées par les rouges et les jaunes, une somme suffisante de bleutés, pour faire sentir l’air ». Le Cubisme est sans doute le mouvement le plus décisif de lhistoire de lart moderne. Héritant des recherches de Cézanne sur la création dun espace pictural qui ne soit plus une simple imitation du réel, et des arts primitifs qui remettent en cause la tradition occidentale, le Cubisme bouleverse la notion de représentation dans lart. Comme le dit John Golding, historien de lart et spécialiste de ce mouvement, « le cubisme est un langage pictural absolument original, une façon daborder le monde totalement neuve, et une théorie esthétique conceptualisée. On comprend quil ait pu imprimer une nouvelle direction à toute la peinture moderne ». Le cubisme veut aussi se justifier et se rattacher à Cézanne par la recherche d’une solidité et d’une densité en réaction aux recherches des effets lumineux et atmosphériques des Impressionnistes qui, du moins dans un certain nombre de paysages, tendent à noyer et éthérer les volumes dans des papillotements de couleurs. Mais là encore, c’est sans doute aller au-delà de ce que prônait Cézanne. C’est donc vraisemblablement sur un malentendu qu’à partir de 1907 et les Demoiselles d’Avignon ou Bordel d’Avignon (considérées généralement comme le premier tableau cubiste) Picasso et Braque appliqueront leurs théories, non seulement aux paysages mais aussi aux natures mortes et à la figure humaine. À partir de 1910, avec ce que l’on nommera le « cubisme analytique », ces deux peintres vont affirmer une rupture avec la vision classique déjà entamée depuis quatre ans. Ils abandonnent l’unicité de point de vue du motif pour en introduire de multiples sous des angles divers, juxtaposés ou enchevêtrés dans une même uvre. Ils s’affranchissent de la perspective pour donner une importance prépondérante aux plans dans l’éclatement des volumes. Le cubisme dans l’Histoire de l’art Vers l’abstraction… Le cubisme, comme le souligne Apollinaire dans Les Peintres cubistes, Méditations esthétiques (1913), a ouvert la voie de l’abstraction (orphisme, suprématisme, futurisme, rayonnisme, Bauhaus) et de l’art conceptuel (Dada), bien que le cubisme n’ait pas produit d’uvres totalement dénuées de lien avec la réalité. D’une façon plus générale, presque tous. Les artistes importants qui réussiront à trouver un style personnel avant la Première. Mondiale, seront passés à un moment ou à un autre. Par une phase cubiste (Marcel Duchamp, Francis Picabia, Vassily Kandinsky, Frantiek Kupka, Robert Delaunay, Piet Mondrian, Léopold Survage, Kurt Schwitters). Les courants voisins du cubisme Le cubisme, qui décompose les objets, est proche de trois mouvements : le futurisme, qui décompose le mouvement, l’orphisme, qui décompose la lumière, le rayonnisme : synthèse du futurisme, de l’orphisme et du cubisme. L’item « Max PAPART (1911-1994) Lithographie d’art en couleur 1974 Art Lithograph » est en vente depuis le vendredi 9 mars 2018. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Estampes, gravures ». Le vendeur est « galerie_d.art » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.
  • Style: 1970
  • Authenticité: Original
  • Période: XXème et contemporain
  • Genre: Constructivisme
  • Support: Sur papier
  • Thème: Abstrait
  • Type: Lithographie
  • Caractéristiques: Sur pierre


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