Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90

Carmelo de la Pinta. Papier du Moulin du Gué. Signé(e) et numéroté(e) au crayon. Gravure signée en bas à droite et numérotée 21 sur 90. Dimension 38 x 29 cm. Au fil du temps, il a exploré différents thèmes au gré de ses voyages ou de ses inspirations. Les plus connus sont certainement les légendes celtes d’Arthur, les personnages qui hantent la forêt de Brocéliande, les sirènes, les licornes et autres chevaux ailés. Des calendriers pour Diwan. Mais c’est en 1979 que son commence son aventure avec les calendriers créés de manière tout à fait artisanale pour l’école Diwan. Il en a réalisés de 1979 à 1985 et en a gardé quelques-uns qui seront dans l’exposition. Il est également l’auteur de l’étiquette de la bière Lancelot. Il exposera aussi des ouvres plus intimes, des portraits de ses enfants, sa famille. Il y aura quelques inédits et surtout des ensembles regroupant le dessin à la mine de plomb, la plaque de cuivre et un tirage, ou encore des dessins et des premiers tirages au vernis mou qui plairont à coup sûr aux collectionneurs. Cette exposition marque la fin de son travail de gravure. « Maintenant, je cultive mon patrimoine », ironise Carmelo. En effet, il a numérisé ses ouvres et les retravaille à l’ordinateur pour les imprimer en digigraphie. « J’utilise les outils d’aujourd’hui, explique-t-il. Cela me permet aussi de varier les formats et de faire que mes ouvres soient accessibles pour un public plus large tout en étant de qualité ». Ces nouvelles impressions sont bluffantes et la technique utilisée permet aux couleurs de conserver leur éclat « au moins 100 ans », précise l’artiste. C’est le travail de toute une vie qu’il présente à partir du 15 juillet au 15 août.


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